vocabulaire des émotions
surprisLISTE DES EMOTIONS
Un personnage peut être :
apeuré
déçu
désespéré
enthousiaste
déconcerté,
troublé,
désemparé
médusé
surpris
perplexe
effondré
seul, abandonné.
bouleversé
content
émerveillé
euphorique
joyeux
heureux
attendri
fier
énervé
envieux
excité
amer
triste
désœuvré
mécontent
mélancolique
agressif
exaspéré
impatient
révolté
mal à l'aise
il peut ressentir de la tendresse
de la douleur
de l'ennui
de la colère
du dégoût
de l'effroi
de l'épouvante
de la frayeur
de la peur
de l'espoir
de l'empathie
de l'appréhension
de la panique
de l'incompréhension,
de l'angoisse,
de la pitié
vocabulaire pour les défauts
agressif
amorphe ( qui ne met pas d'énergie à faire quelque chose
anxieux
arrogant ( qui méprise les autres de manière un peu agressive en se pensant mieux que les autres
arriviste ( qui est prêt à tout pour progresser dans la société ou dans une carrière, y compris des choses discutables
blessant
calculateur ( qui calcule ce que ça peut lui apporter avant de faire quelque chose
capricieux
cassant (qui fait preuve d'un aplomb qui ne supporte pas la contradiction et cherche à faire taire l'autre par une remarque catégorique ou blessante
cruel
défaitiste ( qui pense que tout va tourner au négatif
désinvolte ( qui fait preuve de laisser aller
distrait
égocentrique ( qui ne trouve important que ce qui se rapporte à lui même et ne pense et agit que par rapport à lui même
emporté ( qui a tendance à s'énerver facilement
envieux
fantasque ( qui a des changement d'humeur, des fantaisies
guindé ( qui n'a pas l'air naturel mais très coincé dans son attitude
grossier
hypocrite ( qui dit des choses pour plaire ou pour ne pas contrarier mais qui ne correspondent pas à ce qu'il pense
immature
imprudent
impulsif ( qui a tendance à ne pas réfléchir avant d'agir
incompétent
indiscret
influençable
inconstant ( qui change souvent d'avis
intolérant
irrespectueux
intransigeant ( qui ne supporte et n'accepte aucun défaut dans une action
jaloux
maniaque
maladroit
médisant (qui aime dire du mal des autres
menteur
mesquin ( qui manque sérieusement de générosité
NAÎF ( qui a tendance à croire que les gens sont honnêtes et les choses claires et positives
cupide ( qui est avide d'argent
obstiné
obtus ( qui a du mal à changer d'avis et à comprendre les choses
orgueilleux ( qui a une haute idée de lui même
paresseux
prétentieux
procrastinateur ( qui remet les choses à faire au lendemain
rancunier
renfermé
sans gêne
sournois ( qui fait des choses négatives mais sans franchise, par derrière
susceptible ( qui prend tout pour lui et de travers
têtu
vaniteux
Vocabulaire du théâtre
VOCABULAIRE DU THEATRE :
Acte (n. m.) : partie de la pièce qui marque les éléments importants de l'action. Traditionnellement, une pièce classique est composée de trois ou cinq actes divisés en scènes
Dialogue(n. m.) : échange entre deux personnages d’une pièce de théâtre.
Didascalie (n. f.) : indication scénique donnée par l'auteur pour guider le jeu du comédien. Souvent écrite en italique, elle peut préciser les gestes, les déplacements, les mimiques ou le ton du personnage.
Metteur en scène (n.f.) : il dirige la mise en scène, en respectant ou en s’éloignant du texte et des intentions initiales de l’auteur. Il prend souvent un parti-pris artistique, symbolique, voire idéologique.
Monologue(n. m.) : scène où un personnage est seul sur scène et où il se parle à lui-même (le véritable destinataire est en réalité le public), souvent pour annoncer un projet ou pour exprimer des idées ou des sentiments
Réplique (n. f.) : texte prononcé sans être interrompu par un même personnage au cours d'un dialogue.
Scène (n. f.) : division d'un acte entre l’entrée et la sortie d’un personnage.
Tirade (n. f.) : longue suite de phrases prononcées par un même personnage sans interruption.
Dénouement (n. m.) : il s’agit des dernières scènes d’une pièce de théâtre, là où l’intrigue se résout et où un ordre nouveau est institué.
Exposition (n. f.) : début de la pièce qui présente aux spectateurs les personnages principaux, le début de l’intrigue et donne la tonalité de la pièce. L’exposition peut s’étendre de la première scène à tout le premier acte.
Intrigue (n. f.) : suite de nœuds, d’événements et d’actions qui constituent une pièce de théâtre.
Aparté (n. m.) : paroles que le personnage dit à l’intention du public et que les autres personnages sur scène ne doivent pas entendre
Quiproquo (n. m.) : situation où un personnage commet une erreur en prenant une personne ou une chose pour une autre.
Monologue (n. m.) : discours qu’un personnage seul sur scène se tient à lui-même. Cela permet souvent de faire passer des émotions. Cela dit ce qui se passe dans sa tête.
Stichomythie (n. f.) : enchaînement de répliques très courtes de manière très rapide pour donner du dynamisme et de l’intensité à une scène. Elle marque souvent le conflit.
Bienséance (n. f.) : respect des règles théâtrales et morales afin de ne pas paraître vulgaire, choquant ou invraisemblable. Par exemple, on ne représente pas sur scène la sexualité, la violence ou encore la mort.
.
Règle des trois unités (n. f.) : elle régit l’organisation d’une pièce de théâtre classique, principalement les tragédies mais Molière a copié ces règles pour ses comédies
« Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli
Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli.
Nicolas Boileau, Art Poétique, III, vers 44-46), 1674.
-
Unité d'action (n. f.) : elle consiste à représenter une seule intrigue par pièce de théâtre.
-
Unité de lieu (n. f.) : elle consiste à représenter l’intrigue d’une pièce de théâtre dans un seul et unique lieu.
-
Unité de temps (n. f.) : elle consiste à faire dérouler l’ensemble de l’intrigue en une seule et unique journée.
Vraisemblance (n. f.) : caractère selon lequel ce qui est représenté sur scène est perçu comme une imitation de la réalité
Acte (n. m.) : partie de la pièce qui marque les éléments importants de l'action. Traditionnellement, une pièce classique est composée de trois ou cinq actes divisés en scènes
Dialogue(n. m.) : échange entre deux personnages d’une pièce de théâtre.
Didascalie (n. f.) : indication scénique donnée par l'auteur pour guider le jeu du comédien. Souvent écrite en italique, elle peut préciser les gestes, les déplacements, les mimiques ou le ton du personnage.
Metteur en scène (n.f.) : il dirige la mise en scène, en respectant ou en s’éloignant du texte et des intentions initiales de l’auteur. Il prend souvent un parti-pris artistique, symbolique, voire idéologique.
Monologue(n. m.) : scène où un personnage est seul sur scène et où il se parle à lui-même (le véritable destinataire est en réalité le public), souvent pour annoncer un projet ou pour exprimer des idées ou des sentiments
Réplique (n. f.) : texte prononcé sans être interrompu par un même personnage au cours d'un dialogue.
Scène (n. f.) : division d'un acte entre l’entrée et la sortie d’un personnage.
Tirade (n. f.) : longue suite de phrases prononcées par un même personnage sans interruption.
Dénouement (n. m.) : il s’agit des dernières scènes d’une pièce de théâtre, là où l’intrigue se résout et où un ordre nouveau est institué.
Exposition (n. f.) : début de la pièce qui présente aux spectateurs les personnages principaux, le début de l’intrigue et donne la tonalité de la pièce. L’exposition peut s’étendre de la première scène à tout le premier acte.
Intrigue (n. f.) : suite de nœuds, d’événements et d’actions qui constituent une pièce de théâtre.
Aparté (n. m.) : paroles que le personnage dit à l’intention du public et que les autres personnages sur scène ne doivent pas entendre
Quiproquo (n. m.) : situation où un personnage commet une erreur en prenant une personne ou une chose pour une autre.
Monologue (n. m.) : discours qu’un personnage seul sur scène se tient à lui-même. Cela permet souvent de faire passer des émotions. Cela dit ce qui se passe dans sa tête.
Stichomythie (n. f.) : enchaînement de répliques très courtes de manière très rapide pour donner du dynamisme et de l’intensité à une scène. Elle marque souvent le conflit.
Bienséance (n. f.) : respect des règles théâtrales et morales afin de ne pas paraître vulgaire, choquant ou invraisemblable. Par exemple, on ne représente pas sur scène la sexualité, la violence ou encore la mort.
.
Règle des trois unités (n. f.) : elle régit l’organisation d’une pièce de théâtre classique, principalement les tragédies mais Molière a copié ces règles pour ses comédies
« Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli
Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli.
Nicolas Boileau, Art Poétique, III, vers 44-46), 1674.
-
Unité d'action (n. f.) : elle consiste à représenter une seule intrigue par pièce de théâtre.
-
Unité de lieu (n. f.) : elle consiste à représenter l’intrigue d’une pièce de théâtre dans un seul et unique lieu.
-
Unité de temps (n. f.) : elle consiste à faire dérouler l’ensemble de l’intrigue en une seule et unique journée.
Vraisemblance (n. f.) : caractère selon lequel ce qui est représenté sur scène est perçu comme une imitation de la réalité
Vocabulaire de la poésie-
LES FONDS-Vocabulaire de la poésie
I Qu’est-ce qu’un vers?
- Début du vers: il est marqué par une majuscule.
- Fin du vers: elle est marquée par un retour à la ligne
La phrase peut occuper une partie, tout ou davantage que le vers.
II Présentation du poème
A Les groupes de vers qui composent un poème s’appellent des strophes.
B On donne des noms aux strophes selon le nombre de vers qui les composent:
2 vers: un distique
4 vers: un quatrain
6 vers: un sizain
3 vers: un tercet
5 vers: un quintil
Un vers isolé est mis en relief.
C
Les vers sont composés de syllabes
On nomme les vers selon le nombre de syllabes qui les composent:
12 : un alexandrin
Oh! Combien de marins, combien de capitaines
8 : un octosyllabe
Elle a passé, la jeune fille
10 : un décasyllabe
Pour compter correctement le nombre de syllabes, il faut observer certaines règles:
- le -e muet en fin de vers ne compte pas (il n’est d’ailleurs pas prononcé).
- le -e muet suivi d’un son voyelle ne compte pas.
- le -e muet suivi d’un son consonne compte. (en fait il est à peine dit et on allonge la durée de la voyelle précédente :
Décompte des -e: Par la Natur(e), -heureux comm(e) avec uuune' femme
(Sensation de Rimbaud)
- le poète peut faire prononcer en deux sons ce qu’habituellement on ne prononce qu’en un seul: c’est une diérèse
Exemple: “Un bohémien” sans diérèse : Bo-hé-mien / avec diérèse : bo-hé-mi-en
L'inverse s'appelle une synérèse
exemple sans synérèse : sou-hait / avec synérèse : souhait (swè)
Jusqu’au XIXème siècle, la poésie était en vers. Au XIXème siècle, les poètes se sont libérés des contraintes portant sur la forme du poème: c’est l’invention du vers libre. La poésie peut alors prendre l’apparence de la prose.
III Les rimes
La rime, c’est la répétition de sons identiques à la fin de plusieurs vers. On désigne par des lettres
chaque rime différente: a, b, c...
1- disposition des rimes
aabb: rimes plates / rimes suivies
abab: rimes croisées
abba: rimes embrassées
2- valeur des rimes
On juge la valeur des rimes au nombre de sons qui sont repris
1 seul son commun -> rime pauvre
2 sons communs -> rime suffisante
âme / femme
3 sons communs -> rime riche
capitaine / lointaine
3- genre des rimes
campagne / montagne = rime féminine
(se terminant visuellement par un -e muet, donc non prononcé)
attends / longtemps = rime masculine
(se terminant visuellement par toute autre lettre qu’un -e muet)
La poésie classique fait alterner les rimes masculines et féminines.
Les vers peuvent être tous sur une même rime, on appelle cela une rime LEONINE.
Les vers peuvent tous être sur des finales différentes, on appelle cela des VERS LIBRES
La césure : est une coupe qui divise le vers en deux parties égales appelées hémistiches :
" Ils ont vécu au temps / où les mots furent pauvres"
DONC on parle de rythme binaire : 6 + 6 ; 2 +2 ; exemple : " Le premier feu à prendre // au bas du monde mort" ou de rythme ternaire, 4 + 4 + 4, exemple : " Et par la grâ/ce de ce son/ge que vit-il ?" ou de tétramètre : exemple : 3 + 3 + 3 +3 : " Il a pris/dans le ciel// une grap/pe trop lourde"
IV Le rythme
- il faut marquer les pauses au bon endroit et pour cela, repérer les mots qui forment un groupe cohérent. le poète peut choisir d’écrire des groupes de mots qui débordent du vers :
- un vers déborde sur le vers suivant: c’est un enjambement :
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme
. (Rimbaud)
LES FONCTIONS DE LA POESIE :
1/ écrire du beau
2/ défendre une opinion :
La poésie engagée
qui se met au service d’une cause précise dans un contexte historique précis. Le poète y fait référence à des éléments réels précis et vérifiables. Elle incite le lecteur à réfléchir et à agir: elle peut délivrer un message d’espoir en l’avenir ou mettre en garde contre l’oubli, incitant ainsi au devoir de mémoire. Elle est d’une grande force argumentative car elle cherche à convaincre le lecteur.
3/ exprimer ses émotions
La poésie lyrique
(< de la lyre) dans laquelle le poète exprime ses sentiments personnels. )
Le poète dit “Je” mais ce qu’il ressent concerne tout homme; le lexique des sentiments domine, on trouve beaucoup d’interjections.
4/ rendre compte du réel
5/
Évidemment toutes les figures de style trouvent leur place dans un poème
I Qu’est-ce qu’un vers?
- Début du vers: il est marqué par une majuscule.
- Fin du vers: elle est marquée par un retour à la ligne
La phrase peut occuper une partie, tout ou davantage que le vers.
II Présentation du poème
A Les groupes de vers qui composent un poème s’appellent des strophes.
B On donne des noms aux strophes selon le nombre de vers qui les composent:
2 vers: un distique
4 vers: un quatrain
6 vers: un sizain
3 vers: un tercet
5 vers: un quintil
Un vers isolé est mis en relief.
C
Les vers sont composés de syllabes
On nomme les vers selon le nombre de syllabes qui les composent:
12 : un alexandrin
Oh! Combien de marins, combien de capitaines
8 : un octosyllabe
Elle a passé, la jeune fille
10 : un décasyllabe
Pour compter correctement le nombre de syllabes, il faut observer certaines règles:
- le -e muet en fin de vers ne compte pas (il n’est d’ailleurs pas prononcé).
- le -e muet suivi d’un son voyelle ne compte pas.
- le -e muet suivi d’un son consonne compte. (en fait il est à peine dit et on allonge la durée de la voyelle précédente :
Décompte des -e: Par la Natur(e), -heureux comm(e) avec uuune' femme
(Sensation de Rimbaud)
- le poète peut faire prononcer en deux sons ce qu’habituellement on ne prononce qu’en un seul: c’est une diérèse
Exemple: “Un bohémien” sans diérèse : Bo-hé-mien / avec diérèse : bo-hé-mi-en
L'inverse s'appelle une synérèse
exemple sans synérèse : sou-hait / avec synérèse : souhait (swè)
Jusqu’au XIXème siècle, la poésie était en vers. Au XIXème siècle, les poètes se sont libérés des contraintes portant sur la forme du poème: c’est l’invention du vers libre. La poésie peut alors prendre l’apparence de la prose.
III Les rimes
La rime, c’est la répétition de sons identiques à la fin de plusieurs vers. On désigne par des lettres
chaque rime différente: a, b, c...
1- disposition des rimes
aabb: rimes plates / rimes suivies
abab: rimes croisées
abba: rimes embrassées
2- valeur des rimes
On juge la valeur des rimes au nombre de sons qui sont repris
1 seul son commun -> rime pauvre
2 sons communs -> rime suffisante
âme / femme
3 sons communs -> rime riche
capitaine / lointaine
3- genre des rimes
campagne / montagne = rime féminine
(se terminant visuellement par un -e muet, donc non prononcé)
attends / longtemps = rime masculine
(se terminant visuellement par toute autre lettre qu’un -e muet)
La poésie classique fait alterner les rimes masculines et féminines.
Les vers peuvent être tous sur une même rime, on appelle cela une rime LEONINE.
Les vers peuvent tous être sur des finales différentes, on appelle cela des VERS LIBRES
La césure : est une coupe qui divise le vers en deux parties égales appelées hémistiches :
" Ils ont vécu au temps / où les mots furent pauvres"
DONC on parle de rythme binaire : 6 + 6 ; 2 +2 ; exemple : " Le premier feu à prendre // au bas du monde mort" ou de rythme ternaire, 4 + 4 + 4, exemple : " Et par la grâ/ce de ce son/ge que vit-il ?" ou de tétramètre : exemple : 3 + 3 + 3 +3 : " Il a pris/dans le ciel// une grap/pe trop lourde"
IV Le rythme
- il faut marquer les pauses au bon endroit et pour cela, repérer les mots qui forment un groupe cohérent. le poète peut choisir d’écrire des groupes de mots qui débordent du vers :
- un vers déborde sur le vers suivant: c’est un enjambement :
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme
. (Rimbaud)
LES FONCTIONS DE LA POESIE :
1/ écrire du beau
2/ défendre une opinion :
La poésie engagée
qui se met au service d’une cause précise dans un contexte historique précis. Le poète y fait référence à des éléments réels précis et vérifiables. Elle incite le lecteur à réfléchir et à agir: elle peut délivrer un message d’espoir en l’avenir ou mettre en garde contre l’oubli, incitant ainsi au devoir de mémoire. Elle est d’une grande force argumentative car elle cherche à convaincre le lecteur.
3/ exprimer ses émotions
La poésie lyrique
(< de la lyre) dans laquelle le poète exprime ses sentiments personnels. )
Le poète dit “Je” mais ce qu’il ressent concerne tout homme; le lexique des sentiments domine, on trouve beaucoup d’interjections.
4/ rendre compte du réel
5/
Évidemment toutes les figures de style trouvent leur place dans un poème
Les registres
1/ - le registre comique : vise à faire rire
moyens :
- jeux sur les mots
- Effets de chute, de rupture et de décalage
- Répétitions mécaniques des mots ou de situation
- Ironie
- Imitation burlesque (sujet sérieux dans un style bas)
2/- didactique : vise à enseigner quelque chose
moyens :
- Lexique de la pédagogie
- Tournures de l’ordre et du conseil (impératifs et futur à valeur injonctive)
- Progression logique du propos (expression de la cause et de la conséquence), style clair facilement compréhensible
- Recours à l’exemple
3/- épique : vise à célébrer une nation à travers un héros
moyens :
- Procédés d’insistance et d’amplification (hyperboles, superlatifs, gradations, rythmes croissants).
- Amples périodes. (grandes phrases)
- Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux.
4/-tragique :
la tragédie classique suit les critères suivants :
- niveau de langue soutenu
- personnages nobles
- un ou plusieurs morts.
- champ lexical du destin, du choix impossible, de l'impossibilité...
5/ lyrique : but : exprimer des émotions personnelles intenses
moyens :
- champ lexical de l'émotion (souffrance, amour, exaltation, mélancolie...)
- présence du "je"
- exclamations, interrogations
- nombreuses figures de style qui intensifient le propos
6/ fantastique : but : faire peur, faire naître un malaise
moyens :
- utilisation du "je"
- utilisation de modalisateurs (sembler, peut-être, conditionnel...)
- verbes de perception
- champ lexical de la peur, de l'étrange, de l'inexplicable
- ellipses
- phrases courtes, exclamatives, interrogatives, déstructurées, traduisant un effort et une incapacité de la pensée à,s'organiser et être claire
NB: le fantastique littéraire garde à la fois une explication étrange et une explication rationnelle
7/ merveilleux : but : faire rêver, s'évader du réel
moyens :
- recours à des objets, faits, personnages, magiques
- présence de surnaturel, mais accepté comme normal par les personnages etpar le lecteur, le temps de la lecture
- situation dans le temps peu précise "il était une fois"
- schéma narratif simple, chronologie linéaire
- présence de dialogues
8/ Satirique :
il vise à se moquer durement
il comporte une part de comique
il vise une personne ou une catégorie de personnes
il vise un ou deux défauts
il utilise des procédés de mise en valeur du propos (cf. vocabulaire des procédés
moyens :
- jeux sur les mots
- Effets de chute, de rupture et de décalage
- Répétitions mécaniques des mots ou de situation
- Ironie
- Imitation burlesque (sujet sérieux dans un style bas)
2/- didactique : vise à enseigner quelque chose
moyens :
- Lexique de la pédagogie
- Tournures de l’ordre et du conseil (impératifs et futur à valeur injonctive)
- Progression logique du propos (expression de la cause et de la conséquence), style clair facilement compréhensible
- Recours à l’exemple
3/- épique : vise à célébrer une nation à travers un héros
moyens :
- Procédés d’insistance et d’amplification (hyperboles, superlatifs, gradations, rythmes croissants).
- Amples périodes. (grandes phrases)
- Champs lexicaux de l’héroïsme, de l’exploit, du merveilleux.
4/-tragique :
la tragédie classique suit les critères suivants :
- niveau de langue soutenu
- personnages nobles
- un ou plusieurs morts.
- champ lexical du destin, du choix impossible, de l'impossibilité...
5/ lyrique : but : exprimer des émotions personnelles intenses
moyens :
- champ lexical de l'émotion (souffrance, amour, exaltation, mélancolie...)
- présence du "je"
- exclamations, interrogations
- nombreuses figures de style qui intensifient le propos
6/ fantastique : but : faire peur, faire naître un malaise
moyens :
- utilisation du "je"
- utilisation de modalisateurs (sembler, peut-être, conditionnel...)
- verbes de perception
- champ lexical de la peur, de l'étrange, de l'inexplicable
- ellipses
- phrases courtes, exclamatives, interrogatives, déstructurées, traduisant un effort et une incapacité de la pensée à,s'organiser et être claire
NB: le fantastique littéraire garde à la fois une explication étrange et une explication rationnelle
7/ merveilleux : but : faire rêver, s'évader du réel
moyens :
- recours à des objets, faits, personnages, magiques
- présence de surnaturel, mais accepté comme normal par les personnages etpar le lecteur, le temps de la lecture
- situation dans le temps peu précise "il était une fois"
- schéma narratif simple, chronologie linéaire
- présence de dialogues
8/ Satirique :
il vise à se moquer durement
il comporte une part de comique
il vise une personne ou une catégorie de personnes
il vise un ou deux défauts
il utilise des procédés de mise en valeur du propos (cf. vocabulaire des procédés
les procédés d'écriture
transcriptions d'émotions :
phrases coupées, morcelées, avec des ruptures dans la construction ( -, … )
répétitions
exclamations, questions ( ?, !)
champ lexical de l'émotion
interpellation du lecteur :
captatio benevolentiae : façon de s'adresser au lecteur au début d'un texte pour se le mettre dans la poche, en le flattant, en abordant un thème qui lui plaira…
questions oratoires : (fausses questions, qui oblige le lecteur à se sentir concerné mais qui en réalité impose la réponse)
dialogues : on met en scène des personnages qui dialoguent pour rendre ça plus vivant, s'approcher d'une scène de théâtre
répétitions
assertions lapidaires (façons de formuler les choses avec des expressions courtes, frappantes, qui invitent à accepter une opinion sans la remettre en cause.
Tout ce qui relève des figures de style
vocabulaire pour le paragraphe :
Mots de liaison :pour ajouter des éléments qui vont dans le même sens :
tout d'abord / d'une part
d'autre part / de plus / en outre / par ailleurs /
pour dire le contraire :
en revanche / à l'opposé / néanmoins
pour dire qu'un auteur a dit des choses :
évoquer / dépeindre / esquisser /
pour dire qu'un mot ou un passage a un effet :
susciter ( + émotion) / souligner / mettre en relief / insister sur / accentuer
tout d'abord / d'une part
d'autre part / de plus / en outre / par ailleurs /
pour dire le contraire :
en revanche / à l'opposé / néanmoins
pour dire qu'un auteur a dit des choses :
évoquer / dépeindre / esquisser /
pour dire qu'un mot ou un passage a un effet :
susciter ( + émotion) / souligner / mettre en relief / insister sur / accentuer
Expressions courantes
à bâtons rompus : se dit d'une conversation où il n'y a pas de gêne, où tout le monde peut s'exprimer très librement
Listes de vocabulaire
Liste 1
A
Affligé : peiné, triste, déçu
B
un bourreau : homme qui exécute les gens condamnés à mort
C
contrecarrer : s'opposer à
D
divergence :désaccord entre des opinions, des intérêts de plusieurs personnes ( contraire de "convergence")
E
s'exécuter : obéir, faire quelque chose qu'on nous a demandé de faire
F
G
grisé : content à cause de quelque chose, mais en perdant un peu le sens des réalités, comme quelqu'un qui a un peu bu
H
hargneux : agressif, de mauvaise humeur
I
impassible : air de qielqu'un qui fait semblant de ne pas ressentir d'émotion
J
K
L
lucidité : fait de voir et comprendre ce qui se passe
M
meunier: homme qui s'occupe d'un moulin pour faire de la farine
N
navette : circuit de bus qui emmènent des personnes à un lieu de festivité ou une exposition ...
O
once : mesure de poids anglaise qui correspond à 25 à 30 grammes, ou de volume
P
peiner à : avoir du mal à
Q
R
remontrances : reproches
S
son: enveloppe des graines de blé, ou d'avoine..
T
Times : grand journal étatsunien, lu par beaucoup de monde
U
V
W
X
Y
Z
liste 2
A
alezan : robe d'un cheval, jaune doré
B
breakfast : petit déjeuner
C
connivence :complicité entre deux personnes qui s'entendent sans forcément se parler
D
dissiper (des nuages) : les faire disparaître
E
exorbitant : (un prix ) très cher, tellement cher qu'on aurait les yeux qui sortent de la tête en le lisant
F
fiasco : échec important dans un projet
G
gendre : mari de la fille de quelqu'un
H
I
inextinguible : que l'on ne peut apaiser
J
K
L
lors : depuis lors : depuis ce moment-là
M
avoir la manie de : avoir une habitude un peu désagréable de
N
O
P
passif : qui ne réagit pas, n'agit pas, et attend que quelque chose se passe
Q
R
rancoeur : c'est quand on en veut beaucoup à quelqu'un et qu'on se sent mal
S
sueurs froides : ressenti quand on a très peur que l'on est en train à la fois de transpirer et d'avoir tr(ès froid
T
U
V
vif : se dit de quelqu'un qui réagit vite
W
X
Y
Z
liste 3
A
allouer : donner (octroyer) attribuer
B
bridge : jeu de carte demandant beaucoup de mémoire qui se joue avec 52 cartes et deux équipes de deux qui s'opposent
C
capituler : se rendre ( dans un combat)
D
une dot : somme d'argent que les parents donnent à l'occasion du mariage d'une femme.
E
une entrave : lien entre les par=ttes d'un animal ou entre les pieds d'un homme qui lui permet de faire un pas mais pas de courir, donc pas de s'échapper
F
G
garenne : endroit boisé ou herbeux où les lapins aiment faire leur terrier
H
I
J
K
L
M
miséricorde : pitié
N
O
P
perdrix : oiseau que l'on, chasse pour le manger
Q
R
revers: quelque chose qui se passe mal dans un projet...
S
suffoquer : avoir l'impression que l'on ne peut plus respirer.
T
U
V
W
X
Y
Z
liste 4 :
A
être aux abois : se sentir gravement en danger et sans solution (comme un animal dans une chasse à courre quand les chiens l'entourent en aboyant
B
battre en brèche : détruire une théorie, une idée...
C
cobaye : cochon d'Inde, souvent utilisé à une époque pour tester des expériences médicales, donc désigne aussi quelqu'un victime d'une expérience
D
délavé : se dit d'une couleur qui est plus pâle, comme si on l'avait passée à la machine à laver sur un mauvais programme
E
étayer : consolider (les parois d'un tunnel par exemple) ; donner des preuves de quelque chose (une théorie)
F
fiole : petit flacon
G
gré : envie
H
I
J
K
L
M
méduser : surprendre fortement au point qu'on en reste sans réaction
N
O
P
preuve par neuf : technique de vérification des additions et des multiplications
Q
R
rauque : (son / voix) : rude, comme enrouée
S
suggérer : faire comprendre quelque chose sans vraiment le dire, donner des indices pour qu'on puisse deviner
T
U
V
W
X
Y
Z
liste 5
A
admissible : que l'on peut accepter comme étant normal
B
C
consumer : brûler entièrement petit à petit
D
dessein : but que l'on se fixe
E
émetteur : personne ou objet qui envoie quelque chose (un son, une lettre...) vers un récepteur
F
G
avoir le génie de : faire quelque chose régulièrement d'une manière qui laisse penser que l'on a réfléchi pour embêter tout le monde
H
I
J
K
L
louer : dire des choses positives sur quelque chose ou quelqu'un
M
mutisme : c'est le fait de se taire (rester muet)
O
obliquer : changer brusquement de direction en prenant une direction de travers par rapport à celle qu'on avait
P
penaud : embarrassé à la suite de quelque chose qu'on a mal fait
Q
R
régner : action de gouverner quand on est un roi ou un empereur
S
suave : doux (une voix suave...)
T
U
V
W
X
Y
Z
liste 6
A
accroc : dans un tissu, petie déchirure / dans une théorie, petite difficulté
B
C
coudoyer : être proche d'autres personnes au point que l'on n'a pas de place et que les coudes des gens se touchent
D
duvet : ce qui recouvre les poussins quand ils sont encore jaunes, ou qui se trouve sous les plumes des oiseaux adultes comme les canards
E
effroi : émotion de très grande peur
F
G
galeux : qui a la gale, maladie de peau qui donne un aspect assez repoussant
H
hardi : voir ci dessous intrépide
I
intrépide : hardi , qui ose faire sans se soucier du danger
J
K
L
luire: briller doucement
M
moire : tissu brillant avec des reflets de couleurs différentes
N
O
P
planisphère : carte du monde aplatie correspondant au globe
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
liste 6
A
âcre : (fumée ou odeur) irritante
B
C
D
daigner : accepter de faire quelque chose mais en se sentant supérieur
E
effervescent : se dit d'un comprimé qui va se dissoudre dans l'eau en produisant des bulles
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
pourtour : le tour de quelque chose
Q
R
S
il sied = il convient
T
U
V
W
X
Y
Z
liste 7
A
apte : capable de
B
battre en retraite : fuir ( ou renoncer à quelque chose face à une difficulté)
C
D
E
épanoui : profondément satisfait et heureux
F
G
H
I
J
K
L
M
N
O
P
pastilles Vichy : bonbons de forme octogonale, souvent à la menthe.
Q
R
S
T
U
V
W
X
Y
Z
liste 8
A
ambivalent : qui peut être compris dans deux sens différents
B
C
caprice : volonté soudaine de faire ou d'avoir quelque chose juste parce qu'on en a envie
D
E
s'ébrouer : se secouer comme un chien mouillé
F
G
H
I
J
jubiler : être extrêmement content
K
L
M
mainmise : contrôle sur quelque chose
N
O
P
prolifération : reproduction abondante d'un être vivant
Q
R
rebattre les oreilles : seriner, dire et redire la même chose à longueur de temps
S
seriner : cf mot au dessus "rebattre les oreilles"